Hébergement au Japon
Un voyage au Japon se prépare en amont. C’est un périple qui s’assortit d’un dépaysement certain et chacun l’envisage à sa manière. Ceci se traduit également dans le mode d’hébergement que l’on choisit et que le Japon propose.
- L’hôtel : l’hébergement le plus classique
L’hôtel reste naturellement la solution la plus courante quel que soit le pays où l’on se rend. Il est conseillé de réserver à l’avance sur Internet pour éviter des hôtels complets, mais aussi pour profiter d’offres attractives.
Pour les hommes d’affaires, il a été créé un concept de Business Hotels. Ce dernier peut toutefois intéresser des personnes dont le budget est plus limité.
- Solutions économiques
Parmi les solutions plus économiques qu’un hébergement en hôtel, plus de 350 auberges de jeunesse ont été créées au Japon. Qu’elles soient privées ou publiques, les auberges proposent tant des chambres individuelles (près de 50 euros), que des dortoirs (entre 25 et 40 euros), avec des salles de bains communes, voire des sources d’eau chaude.
De son côté, la pension de famille (« Minshuku ») s’assimile plutôt au principe de la chambre d’hôtes pour un coût variant entre 50 et 75 euros la nuit.
- Les solutions au cœur de la culture japonaise
Le Japon propose également des modes d’hébergement plus atypiques comme les capsules-hôtels. Ce concept est assez particulier dans la mesure où l’on dort dans un casier en plastique de 2 mètres de long. L’hôtel se compose ainsi de capsules empilées et constitue même une solution pour des salariés qui auraient raté leur dernier train. Là aussi, la salle de bain est collective.
- Le Ryokan est l’auberge traditionnelle japonaise
Chambres de style japonais, futon déroulé sur tatami, mise à disposition d’un yukata, tout est mis en œuvre pour s’imprégner de la culture japonaise. La salle de bain et les sanitaires peuvent parfois être à l’extérieur de la chambre. Les budgets sont très variables en fonction de la catégorie de ryokan. Certains ryokan de luxe peuvent coûter plus de 800 euros la nuit, surtout s’ils incluent le dîner traditionnel de style kaiseki (cuisine fine de saison).